UNE EXPERIENCE UNIQUE….
Le créateur François Delarozière est réputé pour ses machines de villes. Des chefs d’oeuvre de technologie, que l’on découvre une fois le premier instant passé, celui du 1er regard où l’on est immanquablement étonné, retrouvant même un regard d’enfant devant ces immenses machines. Cette magie peut se poursuivre par une balade sur le dos de ces titans modernes. Dans cette petite famille des machines de ville en France, le plus ancien est l’Eléphant de Nantes. Les “petits derniers” sont le Minotaure de Toulouse et donc le Dragon de Calais.
A Calais, il sera rejoint dans les années à venir par d’autres machines (iguane, varan) qui elles seront vraiment de machines de ville. Car en ce qui concerne le Dragon, il est plutôt une machine de “bord de mer” ! Un lieu de villégiature qui offre un cadre unique aux balades sur son dos. Imaginez un peu…Un front de mer rénové avec sa digue promenade et sa jetée, avec en toile de fond la mer et un bateau faisant la liaison entre Calais et l’Angleterre et, cerise sur le gâteau, les falaises blanches d’Angleterre que l’on voit par temps clair : c’est dans ce décor peu commun (les amateurs de photos ne s’y trompent pas) que se promène le Dragon de Calais, dont l’abri est tout proche, le long de l’entrée du port.
Le créateur François Delarozière est réputé pour ses machines de villes. Des chefs d’oeuvre de technologie, que l’on découvre une fois le premier instant passé, celui du 1er regard où l’on est immanquablement étonné, retrouvant même un regard d’enfant devant ces immenses machines. Cette magie peut se poursuivre par une balade sur le dos de ces titans modernes. Dans cette petite famille des machines de ville en France, le plus ancien est l’Eléphant de Nantes. Les “petits derniers” sont le Minotaure de Toulouse et donc le Dragon de Calais.
A Calais, il sera rejoint dans les années à venir par d’autres machines (iguane, varan) qui elles seront vraiment de machines de ville. Car en ce qui concerne le Dragon, il est plutôt une machine de “bord de mer” ! Un lieu de villégiature qui offre un cadre unique aux balades sur son dos. Imaginez un peu…Un front de mer rénové avec sa digue promenade et sa jetée, avec en toile de fond la mer et un bateau faisant la liaison entre Calais et l’Angleterre et, cerise sur le gâteau, les falaises blanches d’Angleterre que l’on voit par temps clair : c’est dans ce décor peu commun (les amateurs de photos ne s’y trompent pas) que se promène le Dragon de Calais, dont l’abri est tout proche, le long de l’entrée du port.
SUR LE DOS DU DRAGON
Oui car au-delà de l’aspect visuel, le public, petits et grands, peut donc monter sur le dos du dragon pour une balade d’environ 45 minutes. Le rythme est celui d’une machine de plusieurs tonnes, entre 1 et 2 km/heure : pas de risque d’être “secoué” donc lors de la promenade. Pour monter sur le dos de la bête, c’est à l’arrière, par la queue du dragon qui abrite un escalier d’une vingtaine de marches. Celui-ci vous conduit sur une plateforme abritée, avec quelque bancs et des gardes-corps d’où l’on peut avoir des points de vue panoramiques. Ceux ci peuvent être vers l’horizon constitué par la mer, ou vers le sol, une quinzaine de mètres plus bas, là où se trouvent les «humains» qui s’écartent au passage du dragon de Calais. Le regard peut également se porter sur la plateforme elle-même, imaginée par François Delarozière, ou sur les mouvements de la machine articulée, la tête, la queue, les ailes.
Et puis il s’agit d’un Dragon...donc il grogne, il crache du feu, il fait de la fumée. Les plus curieux regarderont également l’activité des Dragonniers, cette petite équipe d’humains dont le rôle est de faire “vivre” le Dragon.
Oui car au-delà de l’aspect visuel, le public, petits et grands, peut donc monter sur le dos du dragon pour une balade d’environ 45 minutes. Le rythme est celui d’une machine de plusieurs tonnes, entre 1 et 2 km/heure : pas de risque d’être “secoué” donc lors de la promenade. Pour monter sur le dos de la bête, c’est à l’arrière, par la queue du dragon qui abrite un escalier d’une vingtaine de marches. Celui-ci vous conduit sur une plateforme abritée, avec quelque bancs et des gardes-corps d’où l’on peut avoir des points de vue panoramiques. Ceux ci peuvent être vers l’horizon constitué par la mer, ou vers le sol, une quinzaine de mètres plus bas, là où se trouvent les «humains» qui s’écartent au passage du dragon de Calais. Le regard peut également se porter sur la plateforme elle-même, imaginée par François Delarozière, ou sur les mouvements de la machine articulée, la tête, la queue, les ailes.
Et puis il s’agit d’un Dragon...donc il grogne, il crache du feu, il fait de la fumée. Les plus curieux regarderont également l’activité des Dragonniers, cette petite équipe d’humains dont le rôle est de faire “vivre” le Dragon.
LA COMPAGNIE DU DRAGON
C’est la structure qui gère le Dragon , depuis sa “base” située près de la plage de Calais. C’est de là que l’on embarque à bord du Dragon, et c’est aussi là que l’on trouve un lieu de restauration, un bar , une boutique dédiée au Dragon et également la billetterie. On vous conseille toutefois d’être prudent...et de réserver votre tour à bord du Dragon à l’avance. Les enfants auront aussi l’occasion de découvrir le petit iguane...et se prendre pour des Dragonniers, en manipulant le tableau de bord qui fait actionner ses membres !
C’est la structure qui gère le Dragon , depuis sa “base” située près de la plage de Calais. C’est de là que l’on embarque à bord du Dragon, et c’est aussi là que l’on trouve un lieu de restauration, un bar , une boutique dédiée au Dragon et également la billetterie. On vous conseille toutefois d’être prudent...et de réserver votre tour à bord du Dragon à l’avance. Les enfants auront aussi l’occasion de découvrir le petit iguane...et se prendre pour des Dragonniers, en manipulant le tableau de bord qui fait actionner ses membres !